The Real Twilight
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 « Même la Joconde subit les outrages du temps. » ft.Samael.

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Mr Umbrella
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Mr Umbrella
MessageSujet: « Même la Joconde subit les outrages du temps. » ft.Samael.   « Même la Joconde subit les outrages du temps. » ft.Samael. EmptyLun 23 Fév - 2:01


Le sentier était désert. En ce temps entre chien et loup, il n'y avait jamais personne. Ca lui plaisait. Cette illusion de solitude. De temps en temps. C'était agréable. L'air était frais. Le ciel commençait à peine a se couvrir. Il regarda sa montre. Penelope ne rentrerait pas avant quelques heures. C'était parfait. Umbrella passait du temps seul. Les gens de cette ville étaient passionnants mais il n'osait trop s'y confondre de peur de se perdre. Etre un observateur discret lui convenait. Même parfaitement.

Quelque chose l'avait guidé. Un sentiment mêlé d'inquiétude et de sérénité. Un sentiment de familiarité. Alors il s'était mis à marcher. Marche. Marcher. Sans trop savoir où il allait. Joyeusement, il égrainait un air de Mr Sandman qu'il sifflotait de temps en temps. Le crépuscule apparaissait entre les vallons, plus loin et s'étalait sur toute la surface sur lac. Umbrella s'arrêta là et pris le temps de regarder. Il posa la pointe de son parapluie au sol et souffla. Ferma les yeux et revit des visages oubliés, l'espace d'un instant. En les rouvrant, il apparut là. Il était de dos. Et Umbrella pouvait reconnaître ce dos entre mille.

Il approcha d'un pas. S'arrêta. Samael était un vieux vampire. Il se doutait qu'il avait repéré de bien loin sa présence. Ou peut-être pas. Les sens sont trompeurs. Même pour les morts. L'homme au parapluie ne dit rien. Ne bougea pas. Laissa juste le vent emporter son odeur au visage de son vieil ami. Un souvenir ramené du lointain. La dernière fois, il fut longtemps. Un battement de paupière en vérité, face à l'âge de d'Umbrella. Mais même pour, il lui semblait que cela faisait une éternité. Il sourit.

Toujours aussi grand. Toujours aussi blond. Toujours cette aura de puissance que l'âge imposait à son contacte. Quelque chose de sombre, de terrifiant. Mais d'effroyablement séduisant. Le géniteur des hommes ne l'avait pas choisit par hasard. Et chaque fois qu'il le recroisait, il s'en rappelait avec une très douce volupté.

« Un jour, il faudrait que tu penses à mourir... » Le sarcasme était affectueux. 10 000 ans d’existence. Et inchangé. Inaltéré. « … Mon vieil ami. »

Enfin, il osa approcher. Mais même sans se l'avouer, revoir son visage le rendait toujours fébrile.
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Samaël Blade
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Samaël Blade
MessageSujet: Re: « Même la Joconde subit les outrages du temps. » ft.Samael.   « Même la Joconde subit les outrages du temps. » ft.Samael. EmptyLun 23 Fév - 2:57


Old friends forever, and more





Le temps était éphémère pour la plupart des créatures de ce monde, si on omettait les vampires, les modificateurs et... les Trickster. Assis sur la véranda de ma villa je regardais le ciel qui était d'un bleu poignant, encore loin de se couvrir. Je souriais. J'étais l'une de ces créatures sur qui le temps n'avait pas de prise, contrairement à l'art.

Les yeux clos j'appréciais la brise fraîche sur ma peau. Covergroove était un endroit plaisant finalement où j'avais fait construire cette maison pour mon chéri et moi, tout comme pour mes enfants en y repensant, pour pouvoir y venir quand je le voulais. Bien sûr, je ne pourrais pas y rester des décennies sinon les gens soupçonneraient quelque chose, mais s'était mieux que rien. S'était bien là l'un des seuls défauts de l'immortalité qui était mienne. Oh, bien sûr, parfois cela était une véritable pour certain des miens qui continuaient de s'éprendre des humains qui en subissaient les conséquences; voir se faner ceux dont ils s'étaient éprit. Mais moi j'aimais bien ce sentiment, je pouvais être entourer quand je le voulais comme je pouvais plonger dans la solitude quand cela me chantais.

Bien sûr, cela se compliquait avec Jack, ma tendre seconde moitié. On ne peu séparer longtemps deux âmes soeurs comme nous, mais parfois j'avais besoin d'un peu de recule pour refaire le point sur les années qui étaient passées, voir ce que j'avais accompli, voir ce qui avait changé dans le monde, ce qui s'était bâti comme ce qui s'était détruit. De mon grand âge j'avais vu des choses que beaucoup ne verraient jamais, pris sagesse là où certain n'aurait trouvé que folie, tendresse où d'autre aurait trouver cruauté, j'avais trouver la tendresse et la passion chez des êtres insoupçonnés que je n'oublierais jamais même si je doutais parfois que cela puisse être réciproque. Où parce qu'ils étaient morts ou parce qu'ils étaient biens plus vieux que moi.

Je fus finalement pris d'une étrange nostalgie lorsque je rentrais de nouveau dans ma villa et que mon regard s'attarda sur un dessin que j'avais fais des siècles et des siècles plutôt et qui était étonnement bien conservé. Je m'appliquais à ce qu'il dure le plus longtemps possible. Je m'approchais de mon oeuvre et sourit légèrement. S'étais un visage qui ne pouvait s'oublier même s'il pouvais s'écouler de l'eau sous les ponts avant que son image ne remonte à ma mémoire pour me rappeler des souvenirs malheureux, mais surtout heureux.

Sur un coup de tête, ou peut-être pas, je sortis de nouveau de ma nouvelle demeure pour m'engager sur une route que j'avais apprise à connaître par coeur et qui menait à un endroit que j'appréciais plus que tout. Cover Lake. Cet endroit m'inspirait tant de calme, de nostalgie, parvenait à calmer la bête qui sommeillait en moi pour faire ressortir ce qu'il y avait de plus doux et de tendre. Peut-être était-ce le bruit des vagues, le cris des goéland qui volaient au-dessus de ma tête ou simplement le paysage qui était à couper le souffle. Ainsi s'écoula le temps jusqu'à ce moment entre chien et loup que j'appréciais temps.

Je m'arrêtais aux pieds du lac, laissant la douce brise glisser sur mon visage et dans mes cheveux blonds, pénétrer mon trench coat noir qui était ouvert et flottait légèrement derrière moi. Je portais un veston charcoal sur une chemise blanche sans cravate alors qu'un pantalon noir ample était retenu sur mes hanches par une ceinture blanche à la boucle d'argent. Je serrais la tête de mon inséparable canne dans la paume de ma main. Le crâne était lisse sur celle-ci et me rappelait comment elle avait vu le jour. Sans que je n'ai rien à faire, il se dégageait de moi une aura de puissance, de danger comme seul ceux qui ont vécu des millénaires peuvent le faire. Mon regard impénétrable fixé sur l'étendue bleu devant moi était détaché. Oui, ce qui ce dégageait de moi était sombre, peut-être même terrifiant pour le commun des mortels, mais cela me donnait aussi un petit quelque chose de séduisant. Après tout, nous sommes tous sous le charme du danger.

Puis soudain une odeur plus que familière parvint à mon nez, imprégna mes poumons. Un frisson parcouru mon corps et mes poils se dressèrent sur ma nuque alors qu'un sourire naissait sur mes lèvres. Cette odeur, je ne l'oublierais jamais, s'était la sienne. Je me souvenais encore du goût de ses lèvres, de sa peau... Ces souvenirs étaient si frai à mon esprit alors que tant de temps avaient passés depuis! Nous nous étions trouvés, choisit et pas pour rien.

Trickster était là, au travers son odeur je sentais sa présence dans mon dos. Je ne me retournais pas, la nostalgie du moment me gagnant le coeur, organe mort depuis belle lurette, et j'étais si fébrile de voir quel visage il arborerait aujourd'hui. Je me souvenais de ma rencontre avec Jack où il m'avait parler de l'homme au parapluie, mais pour moi il serait toujours Trickster, mon joueur de tour.

« Un jour, il faudrait que tu penses à mourir... … Mon vieil ami. » fit la voix avec un sarcasme affectueux qui m'arracha un grand sourire.

« Mais toi aussi, mon cher Trickster » fis-je sur le même ton, me retournant lentement pour lui faire face.

Si les millénaires écoulés m'avaient laissés inchangés, il n'en était rien pour mon vieil ami. Il abordait un visage qui m'était toujours agréable à regarder, masculin, taquin... joueur de tour, totalement lui! Ses yeux verts étaient si envoûtant et je pouvais y lire un âge plus grand que le mien. Nous étions presque de la même taille, mais je le dépassais de trois petit centimètres à tout cassé, mais pourtant je me sentais petit à côté de lui. Il avait toujours cette aura mystérieuse qui dégageait quelque chose de dangereux comme celle d'un prédateur. Et je savais mieux que quiconque de quoi il était capable, sur plusieurs plan!

À ma vieille connaissance j'offris un sourire avant d'ouvrir les bras, ravis

« Cela faisait si longtemps mon vieil ami! » dis-je en m'approchant avant de le serrer dans mes bras. « Autant le temps m'a-t-il épargné, autant il est toujours plaisant de reconnaître ton odeur derrière un nouveau visage » ajoutais-je en rigolant. « Il est si bon de te revoir » souris-je en posant une main sur son épaule. « Que deviens-tu mon bon Trickster? Quel tour nous as-tu concocté cette fois hum? » demandais-je, sachant que cet être aussi vieux que le monde adorait être témoin passif, mais aussi actif.


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Mr Umbrella
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MessageSujet: Re: « Même la Joconde subit les outrages du temps. » ft.Samael.   « Même la Joconde subit les outrages du temps. » ft.Samael. EmptyLun 23 Fév - 6:52


Son sourire, d'abord taquin et narquois, s'agrandit d'un plaisir franc et sincère lorsque Samael lui répondit. Quand il se retourna, Umbrella se surprit à de l'impatience. Celle de revoir son visage. Figé dans le marbre. De sa main libre, l'ancien Trickster tendit un bras accueillant pour accepter son ami près de lui. D'une affection sans borne. D'un geste paternel tendre. Mais surtout d'un amour qu'Umbrella n'avait pas oublié. Et qui ne s'était jamais étiolé.

Umbrella avait hésité à répondre à la réponse de Samael. Avait voulu lui dire que lui n'était pas né pour mourir. Qu'il ne mourrait pas et qu'il vivrait longtemps après lui car Samael, aussi immortel fusse-t-il, Umbrella le savait, n'était pas éternel. Mais il ne dit rien. Contenté d'une agréable accolade. Presque machinalement, la main de Trickster vint s'abreuver de douceur dans les cheveux du vampire avant que les retrouvailles ne les séparent de cette étreinte qu'ils renouvelaient presque tous les siècles. Comme un vieux souvenir qu'il est bon de se remémorer.

Tandis que Samael s'enquit d'enthousiasme, Umbrella ne fit que lui sourire, à moitié admiratif des traits qui avaient marqués tous ses sens. « Mon bon Trickster » le refroidit soudain. Oui, ils étaient amis et l'espace d'un instant il oublia se détail. Il se demanda qui était à présent dans sa vie. Jack peut-être ? Peut-être pas. Un autre ? L'attitude de Samael inspirait une virile apostrophe masculine qui dérangeait la sensualité de leur relation de jadis. Un moment, l'homme au parapluie se questionna lui-même sur l'entourage du vampire. Serait-il jaloux ou respectueux ? Il n'avait pas encore décidé. Il laissa glisser ce « bon Trickster » comme naturelle et garda un sourire généreux.

« Ah, rien cette fois-ci. Je viens en observateur. Quelque chose comme respirer l'air frais... Me balader au clair de Lune... Contempler la grandeur de la nature... Enfin, des trucs comme ça... Lâcha-t-il d'un geste de a main comme pour chasser une mouche importune. Son ton était volontairement sarcastique. Trickster préparait ses tours bien seul, le plus souvent. Mais Samael avait un droit de regard sur ses affaires. Alors il soupira, comme pour abandonner ses mystères et répondit plus franchement. Je suis là pour accompagner la fille d'un ami. Une belle fleur que la mort de ce dernier m'a forcé de recueillir. Un temps. Il sourit en penchant de malice sa tête sur le côté. Je te la présenterai à l'occasion... Peut-être. Car les promesses d'Umbrella, comme le savait Samael, étaient toujours muées de doutes et d'incertitudes. Parle-moi plutôt de toi ! Dis-moi... Tu n'aurais pas grandit, depuis notre dernière rencontre ? »
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Samaël Blade
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Samaël Blade
MessageSujet: Re: « Même la Joconde subit les outrages du temps. » ft.Samael.   « Même la Joconde subit les outrages du temps. » ft.Samael. EmptyLun 23 Fév - 7:37


Old friends forever, and more





Si mon coeur avait encore pu battre dans ma poitrine, il l'aurait fait à un rythme effréné! J'étais impatient de le revoir, de le toucher de nouveau et d'entendre sa voix, celle qui parvenait à me faire frémir de diverse façon alors même que Jack y arrivait mais avec peine, pourtant il était ma seconde moitié. Lorsque je le vis ma respiration s'arrêta. Une chance que je n'avais pas besoin de respirer pour vivre! Lorsqu'il m'accueillit dans ses bras dans une affection sans égale je fondis, oubliant tout, mon clan, Jack... Il n'y avait plus que lui et moi. Je le serrais contre moi, partageant cet amour que nous étions deux à ne pas avoir oublié, à toujours partager malgré le fait que nous puissions voir ailleurs, mais qui ne jamais ne s'était ébruité. Peut-être était-ce lui ma véritable âme soeur?

Je respirais son odeur qui m'avait tant manquer. Je le savais plus vieux, plus puissant que moi. Je me souvenais de nos disputes qui finissaient toujours par coûter des centaines de vies humaines et qui causaient de véritables catastrophes. Je me souvenais que nous avions détruit une ville une fois, et une montagne lors d'une autre dispute. Ah! Quel souvenir... Je frémit en sentant sa main dans mes cheveux et tout aussi naturellement je fis de même, caressant sa nuque et emmêlant ses cheveux à mes doigts, plongeant mon visage dans son cou. S'était si bon de retrouver mon Trickster, même si s'était dans un autre corps! Il était le seul envers qui j'avais cet élan d'affection lors de nos retrouvailles centenaires, comme si mon corps, mon âme voulaient lui faire savoir qu'il était le seul pour qui j'étais près à m'ouvrir. J'aimais Jack, j'étais tendre avec lui, mais s'était différent, comme si ce n'était pas la même... mécanique sentimentale?

Finalement nous nous séparâmes alors que je l'appelais mon "bon Trickster". J'avais failli dire mon tendre, mais j'aimais jouer sur les mots. Je souris à pleine dent en posant ma main sur son épaule, cela contrastait avec la sensualité de notre relation, mais s'était un geste qui m'était devenu naturel au cour du dernier siècle pour montrer mon attachement. Une façon de ne pas avoir le corps d'un autre contre le mien, mais s'était une habitude que je tendais à perdre mais qui avait la vie dure. J'eu un petit rire

- « Ou plutôt devrais-je dire, mon tendre Trickster? »

Je me penchais pour poser mes lèvres à la commissures des siennes.

Je me demandais s,il serait jaloux de Jack ou non, puisque s'était lui qui l'avait pousser dans mes bras. Était-il au courant que son protéger londonien était ma seconde moitié? S'était une question que je m'étais mille fois posé. Je lui souris, amusé, sachant que mon "bon Trickster" l'aurait peut-être perturber, mais il m'en avait fait voir de toutes les couleurs lui aussi! Autant jouer une douce vengeance.

« Ah, rien cette fois-ci. Je viens en observateur. Quelque chose comme respirer l'air frais... Me balader au clair de Lune... Contempler la grandeur de la nature... Enfin, des trucs comme ça... »

Il agita sa main comme pour chasser une mouche tournant autour de sa tête. Ah, comme son ton sarcastique m'avait manqué! Je savais bien qu'il adorait préparer ses tours seuls, mais je savais aussi que j'avais le privilège d'avoir un regard dans ses affaires. Je fus heureux d'entendre son soupire qui annonçait la chute du mystère.

« Je suis là pour accompagner la fille d'un ami. Une belle fleur que la mort de ce dernier m'a forcé de recueillir.»

Je lui souris, raffermissement légèrement ma prise sur son épaule que je n'avais pas lâcher, que je ne pouvais pas lâcher..., pour lui dire que je comprenais. Si cette mort n'avait pas été naturelle, les responsables avaient dû souffrir comme personne!

« Je te la présenterai à l'occasion... Peut-être.»

Je rigolais doucement

« Peut-être aujourd'hui, peut-être dans cent ans et peut-être jamais!»  

Je le connaissais assez pour savoir mettre en doute ses promesses emplit d'incertitude.

« Parle-moi plutôt de toi ! Dis-moi... Tu n'aurais pas grandit, depuis notre dernière rencontre ?»  

Je souris avant de lui caresser la nuque avec toute la sensualité qui faisait notre relation, un sourire narquois sur les lèvres.

« Ne serais-ce pas plutôt toi qui as perdu quelques centimètres? Pour ma part, il semblerait que Jack soit mon âme soeur, tout du moins c'est ce que je pense, mais je ne sais pas, je doute parfois... »

Je n'avais jamais parlé de mes doutes à personnes, mais parfois je me demandais si ma tendresse envers mes enfants n'auraient pas brouiller ma perception envers Stephen qui était insistant sur le fait qu'il voulait m'avoir comme amant. Peut-être qu'au final, j'avais voulu le prendre pour âme soeur pour ne pas le perdre.

« Et j'ai une nouvelle fille, Céleste. Une petite ange comme Xavier» Je soupirais doucement las. « Trickster, je pense que je me met à engendrer la prochaine génération de pacifiste invétéré! Moi! Tu imagines? Je vais finir grand-père gâteau à siroté mon sang d'ours pour plus tuer d'humain! Fait moi plaisir, si un jour je fini comme ça, achève-moi!» Je rigolais joyeusement, sachant la chose impossible même si j'y mettais toute mon énergie. On ne peu faire du Diable un ange.

Moi, finir comme un ridicule végétarien pacifiste? Jamais de la vie!


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« Même la Joconde subit les outrages du temps. » ft.Samael.

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